Transparency International
L’IPC note et classe les pays/territoires en fonction du degré de corruption présent dans le secteur public d’un pays tel qu’il est perçu par les experts et les chefs d’entreprise. Il s’agit d’un indice composite, une combinaison de 13 enquêtes et évaluations de la corruption, rassemblées par une variété d’institutions réputées.
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Suivi et évaluation des politiques
TI retient uniquement la corruption dans le secteur public. L'ONG définit la corruption comme « l'abus d'une fonction publique à des fins d'enrichissement personnel ».
Annuel.
L’IPC mesure les niveaux perçus de corruption du secteur public dans plus de 180 pays et territoires. À partir de 13 enquêtes basées sur des évaluations d’experts et de gens d’affaires, chaque pays se voit attribuer un score allant de zéro (fortement corrompu) à 100 (très peu corrompu).
• Une dégradation de la note du Maroc (37/100) et un recul de deux places dans le classement (99ème/ 180 contre 97ème l’année dernière).
• Le Maroc poursuit sa régression dans le classement pour la septième année consécutive (depuis 2018), ayant perdu au total 26 places.
• La note du Maroc reste inférieure à la moyenne mondiale (43/100) ainsi qu'à la moyenne de la région MENA (39/100).
• Le Maroc est classé au milieu du tableau du classement des pays de la région MENA (10/18), il a gardé la même position de 2023. La moyenne MENA est de 39/100.
• Au niveau de l’Afrique, le Maroc est classé 20ème sur 54 pays africains. Il a perdu 3 positions par rapport à l’année 2023 (3 pays ont progressé dans le classement : Zambie, Gambie, Éthiopie). La moyenne de l’Afrique est de 32/100.
(*) Un score élevé indique un niveau faible de perception de corruption.